« J’ai 110 ans et je n’ai jamais mangé ça : mon secret surprend les médecins »

À 110 ans, la plupart des gens auraient quitté depuis longtemps les projecteurs du quotidien. Mais Vincent Dransfield, lui, continue de vivre seul, de cuisiner ses repas et même de monter les escaliers de sa maison sur trois niveaux. Son secret ? Il en dévoile une partie aujourd’hui. Et certains de ses choix étonnent même les médecins.

Un supercentenaire plein d’énergie

Vincent Dransfield n’est pas simplement centenaire. Il fait partie de la rare catégorie des supercentenaires, ces personnes qui ont dépassé les 110 ans. Ils ne sont que 68 dans le monde à ce jour. Ce qui frappe chez lui, au-delà de l’âge, c’est sa vitalité.

Il vit encore dans sa maison, qu’il entretient seul, sans aide permanente. Il prépare ses repas, s’habille, fait ses courses, sans assistance. Une autonomie qui en dit long sur son mode de vie.

Un métier qui lui a donné une raison de vivre

Ancien pompier volontaire dans le New Jersey, Vincent n’était pas un grand sportif. Pourtant, il attribue une partie importante de sa longévité à son métier. Être pompier, explique-t-il, lui a offert une mission, des amis et un réseau social fort.

« Les pompiers… J’ai rencontré tellement d’amis », confie-t-il. Ces liens humains sont devenus essentiels, notamment après la mort de sa femme en 1992. Il évoque la camaraderie, l’engagement, et le sentiment de servir une cause utile. Tout cela aurait, selon lui, contribué à sa santé mentale et à son bien-être.

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Les spécialistes le confirment : avoir une vie sociale riche et stimulante protège le cerveau et réduit les risques de déclin cognitif.

Il a évité un aliment toute sa vie

Voici un point qui intrigue : Vincent Dransfield n’a jamais mangé de nourriture industrielle ultra-transformée. Aucun plat préparé, aucun snack emballé. Il a toujours préféré cuisiner lui-même.

Il se souvient de son enfance à la ferme, où il buvait du lait frais et mangeait sainement : « J’y retourne souvent, et je pense que ça a permis un bon départ pour mes os et mon corps. »

Ce refus des aliments industriels aurait peut-être fait toute la différence. De nombreux médecins associent les produits transformés à des maladies comme l’obésité, le diabète ou les troubles cardiovasculaires.

Des petits plaisirs, sans excès

Même s’il a évité les plats industriels, Dransfield ne s’est jamais privé de tout. Il adore notamment :

  • la cuisine italienne
  • le chocolat
  • les hamburgers
  • le café du matin
  • une bière de temps en temps

L’équilibre, pour lui, repose sur la modération. S’accorder des plaisirs, oui, mais sans tomber dans l’excès. Cette approche lui a permis de garder une relation sereine avec la nourriture, tout en se faisant plaisir.

Un esprit positif comme moteur de vie

Au-delà de l’assiette, Vincent met en avant un autre composant clé de sa longévité : un état d’esprit optimiste. Depuis toujours, il a choisi de prendre la vie du bon côté. Même lors des moments difficiles, il a su garder sa bonne humeur.

Ce mental fort l’a souvent porté, selon lui. Il aurait même aidé son corps à rester en bonne santé. Les recherches récentes ne contredisent pas ce point : le stress chronique est associé au vieillissement accéléré.

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L’amour, un ingrédient essentiel

Pendant des années, Vincent a partagé sa vie avec sa femme. Et lorsqu’il parle d’elle, ses yeux brillent encore. Pour lui, l’amour donne de la force, prolonge la vie et nourrit l’âme autant qu’un bon repas.

« Aimer fait vivre plus longtemps », affirme-t-il simplement. Il semble convaincu que les liens affectifs, les moments de tendresse, les petites attentions du quotidien sont tout aussi essentiels que n’importe quelle habitude alimentaire.

Un message plein d’inspiration

Ne jamais manger d’aliments transformés. Trouver un métier qui donne du sens à votre vie. Choisir l’optimisme. Aimer, profondément. Voilà les quatre piliers qui, selon Vincent Dransfield, l’ont mené jusqu’à 110 ans.

S’il n’y a évidemment pas de recette magique, son témoignage donne à réfléchir. Et vous, quel petit changement pourriez-vous adopter aujourd’hui pour mieux vieillir demain ?

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Léo C.
Léo C.

Léo C. est un jeune chef autodidacte qui a décidé de se plonger dans l'univers culinaire. Il aime expérimenter et marier des saveurs pour créer des plats uniques.